
États-Unis : Johnny Depp déteste Hollywood.
- José Lalande
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- 21 août 2021
Suite à l'antécédent survenu dans le courant de l'année 2016 avec le Journal "The Sun" l'ayant traité d'une certaine accusation de "batteur de femme", l'acteur américain Johnny Depp s'est vu rejeté par le Hollywood. Il déclare que l'industrie américaine de cinématographie l'a boycotté et révèle ses intempestifs durant les cinq années dernières.
Dans sa toute première entrevue dans "Sunday Times" depuis son procès perdu contre le média "The Sun", qu'il traitait de diffamateur dans un article publié contre sa personnalité, le célèbre acteur américain n'a pas manqué de se prononcer sur son nouveau film intitulé "Minamata" et sa nouvelle image vis-à-vis de Hollywood.
En réalité, il s'agissait d'une plainte que l'acteur a déposée contre "The Sun" qui, dans l'une de ses parutions sur les allégations d'abus de son dorénavant ex-épouse Amber Heard, l'a traité de "batteur de femme". Johnny Depp a en revanche, nié cet acte de violences conjugales à sa femme contre qui il dépose une plaine solide en diffamation d'une somme de 50 millions de dollars, lequel papier suit actuellement la procédure judiciaire devant les instances compétentes.
Les deux amoureux en litige se sont en effet mariés en 2015 après plusieurs années de relations sentimentales. Mais se sont très tôt, l'année qui a suivi, séparés à cause de ce qu'aujourd'hui, est devenu rupture litigieuse de plusieurs lunes durant accompagnée d'allégations de mauvaises habitudes du côté des deux parties avant que leur divorce ne soit en fin officialisé.
Dans sa récente interview, le cinématographe américain, ayant été l'un des corps producteurs du film, a colorié sous une mauvaise image, le photographe W. Eugene Smith dont le partenariat avec le magazine Life a révélé l'empoisonnement au mercure des campagnards du Japon dès l'aube de 1970.
Dans son explication, la star en question a mené une réflexion nette sur sa vie récemment juxtaposée à celles de ces campagnards empoisonnés de l'archipel nippon et ceux ayant souffert du Coronavirus. <<C'est comme se faire griffer par un chaton>>justifiait-t-il dans son rapprochement avec sa réalité vécue.
En ce qui concerne son nouveau film qui n'est pas paru sous les numéros Hollywoodiens, tel qu'il l'a concrétisé en Angleterre, il avance que cela est dû à son boycottage par l'industrie cinématographique américaine : <<Le boycott d'Hollywood contre moi..Mais, vous savez, je me dirige vers là où je dois aller pour faire tout çà>>, pour tenter de clarifier les choses.
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